Une jeune fille vagabonde (prénommée Simone, ou Mona) est retrouvée dans un fossé, morte de froid, au pied de deux cyprès jumeaux. C’est un simple fait divers. Que pouvait-on savoir d’elle et comment ont réagi ceux qu’elle a croisés sur sa route, dans le sud de la France, cet hiver-là ? Un autre routard, une domestique, un berger philosophe, un tailleur de vignes tunisien, une « platanologue », un garagiste et une vieille dame. Elle traîne et boit dans les gares. Des voyous l’accueillent dans un squat. Elle fait de brèves rencontres entre ses longues errances sans but apparent. Elle survit énergiquement malgré la faim, la soif, le froid et le manque de cigarettes et d’herbe. Sa solitude augmente, elle perd son duvet. C’est le froid qui la vaincra.
Qu’avez-vous pensé du film ? Quel sentiment ce film a-t-il provoqué chez vous ? Exprimer votre opinion par un exemple qui vous a plu ou déplu.
Je pense qu’il est important de parler du sans-abrisme, donc je pense que l’histoire de Mona est intéressante. Nous ne savons pas vraiment pourquoi elle est sans abri, bien qu’il y ait une implication que c’était par choix. Cela est discutable, car même si cela semble être un choix, il peut avoir été motivé par des problèmes personnels sous la surface, comme des problèmes de santé mentale ou un traumatisme. Le film ne l’a pas vraiment abordé à partir de ce point de vue. C’était comme si Mona était suspendue dans les airs, aucun contexte du passé ou du futur, seulement le présent. Par conséquent, j’ai l’impression que c’était incomplet en termes d’approfondissement du sans-abrisme, cela l’intellectualisait trop à mon avis. L’un des meilleurs exemples de cela était lorsqu’elle restait avec le berger. En tant que personnage, il était insupportable, le sage qui avait compris la vie, lui man-expliquant (mansplaining) les choix de Mona sans vraiment la connaître. Mona a un peu débattu de lui, mais il n’était pas clair si le berger était censé avoir raison ou tort. En général, j’ai l’impression que le film était incohérent. Parfois trop explicite, comme quand le riche neveu de nulle part est devenu sentimental au téléphone en disant que Mona l’a intimidé ou quand Yolande brisait le quatrième mur (qui parle comme ça? cringy script), et parfois ne pas expliquer les choses du tout. C’était l’un de mes films les moins préférés de la classe.
La vie que Mona mène est par choix, c’est idée sur comment vivre sa vie son totalement unique. Elle décide de prendre la route, ne pas travailler pour quelqu’un et ne pence même pas à s’installer et avoir une famille, mais malheureusement ces choix mènent à sa mort. J’ai bien aimé la scène avec le philosophe quand il explique à Mona que sa décision n’est pas intelligente mais le philosophe berger en quelque sorte est aussi comme Mona puisqu’il est nomade. Le style du film est très unique, le film est une accumulation de scènes d’interview.
Sans toi ni loi est l’une des film que j’ai bien aimer. Sans toi ni loi debute sur les images de mona,une je une fille morte de froid dans un fossè de provence. Mona a cru pouvoir vivre sa vie route seule “sans toi ni loi” ce refus de pas vivre sa vie par les normes de la sociéte a causer sa perte. Je pense que la realisatrice de cette film voulait nous faire comprendre d’un sujet dont beaucoup de personne vie, et que cette vie sans attache peu detruit une personne á long terme. Mona méme alors sa vie sa manière qui la libére des convention mais la conduit á sa perte. J’ai beaucoup aimer la scène du berger philosophe et mona, le berger philosophe affronte mona à cause de sa paresse.
Ce film n’était vraiment pas mon préféré. Mon plus gros problème était avec le personnage principal. J’avais le sentiment que pour quelqu’un qui vivait soi-disant en dehors des normes de la société, elle dépendait plutôt de ceux qui se conformaient aux normes de la société. Elle se retrouvait constamment dans une situation où elle avait besoin d’aide et au lieu d’être reconnaissante de l’aide, elle en profitait pour les critiquer et les juger pour avoir choisi d’avoir une vie plus confortable.
Honnêtement, j’ai vraiment aimé regarder ce film. J’ai aimé l’idée que Mona puisse rencontrer tant de nouvelles personnes. Je me souviens qu’au début du film, je me sentais si mal qu’elle était morte … Je me sentais aussi vraiment mal qu’elle n’avait pas de maison à un si jeune âge. Je n’ai jamais regardé un film sur une fille voyageant littéralement partout. C’était une nouvelle expérience à coup sûr. Je souhaite seulement que Mona sourit davantage. Elle était toujours aussi sérieuse et ne souriait jamais vraiment.
J’aime le film mais je n’aime pas le personnage principal. Je ne l’aime pas a cause du fait qu’elle est paresseuse et défiante. Par exemple, quand elle s’est recontrée avec la platanologue, je pense qu’elle a profité d’elle. Elle a bu son champagne, habité dans sa voiture, et elle s’est mit allaise, mais elle pouvait avoir la meme vie si elle travaillait et avait son propre argent. Les personnages du film ont demontré d’une grande bonté envers Mona sans s’attendre rien en retour. Ils l’ont montré sincere gentillesse et je pense que ce n’est pas quelque chose d’aussi courant aujourd’hui.
J’aime le film et pas Mona, le personnage principal du film. Je ne l’aime pas parce qu’elle est paresseuse et paranoïaque. La vie de Mona mène par volonté, et c’est une vision vraiment nouvelle de la façon dont sa vie devrait être vécue. Elle choisit de ne travailler avec personne et de ne même pas penser à une famille, mais ces décisions mènent malheureusement à sa mort. Pour commencer, lorsqu’elle a rencontré le pathologiste, je pense qu’elle en a profité. Elle buvait son champagne, vivait dans sa voiture et s’entendait bien, mais elle aurait la même vie si elle travaillait et avait son propre argent. Sans attendre, les personnages du film ont montré une grande sympathie à Mona. Ils ont fait preuve d’une gentillesse sincère et maintenant je ne pense pas que ce soit si naturel. Elle ne pense même pas à une famille. J’ai apprécié la scène du philosophe où il révèle à mona qu’il ne détermine pas intelligemment, mais il aime toujours un philosophe berger en quelque sorte parce qu’il est un nomade. Le style vidéo est très inhabituel, avec des scènes d’interview accumulées.
J’aime le film et pas Mona, le personnage principal du film. Je ne l’aime pas parce qu’elle est paresseuse et paranoïaque. La vie de Mona mène par volonté, et c’est une vision vraiment nouvelle de la façon dont sa vie devrait être vécue. Elle choisit de ne travailler avec personne et de ne même pas penser à une famille, mais ces décisions mènent malheureusement à sa mort. Pour commencer, lorsqu’elle a rencontré le pathologiste, je pense qu’elle en a profité. Elle buvait son champagne, vivait dans sa voiture et s’entendait bien, mais elle aurait la même vie si elle travaillait et avait son propre argent. Sans attendre, les personnages du film ont montré une grande sympathie à Mona. Ils ont fait preuve d’une gentillesse sincère et maintenant je ne pense pas que ce soit si naturel. Elle ne pense même pas à une famille. J’ai apprécié la scène du philosophe où il révèle à mona qu’il ne détermine pas intelligemment, mais il aime toujours un philosophe berger en quelque sorte parce qu’il est un nomade. Le style vidéo est très inhabituel, avec des scènes d’interview accumulées.
J’aime le film parce que l’intrigue est originale et j’aime la façon dont le spectateur doit remettre en question chaque détail pour comprendre le parcours de Mona. C’est très différent des autres films aussi car nous avons des interviews tout au long du film donnant au spectateur des perspectives différentes. J’aime le mystère du film et je pense qu’il ajoute un très bel élément à l’histoire de Mona